Premier aperçu très circonscrit de New Delhi. Nous sommes dans le quartier plus ou moins chic avec des avenues très larges et arborées. C'est difficile de trouver des échoppes qui donnent sur la rue et je trouve que les restaurants sont relativement rares. Pas encore vu vraiment de marché ou ce qui pourrait faire office, les habitudes de vie ont l'air différentes.
Le métro est flambant neuf, propre et efficace. Le plus surprenant sont les contrôles de sécurité à l'entrée à travers un portique et un scan au rayon pour les sacs, aux heures de pointe ça coince. On voit aussi que cela n'a pas été conçu à l'origine, on voit des militaires avec leur arme derrière des tas de sacs de sables dans les couloirs. La peur des attentats à l'air très présente, je ne me rends pas compte de la réalité des choses. La circulation est presque acceptable mais il règne un brouillard persistant qui enveloppe la ville. Quelques jours plus tard alerte à la pollution (voir là)
Le métro est flambant neuf, propre et efficace. Le plus surprenant sont les contrôles de sécurité à l'entrée à travers un portique et un scan au rayon pour les sacs, aux heures de pointe ça coince. On voit aussi que cela n'a pas été conçu à l'origine, on voit des militaires avec leur arme derrière des tas de sacs de sables dans les couloirs. La peur des attentats à l'air très présente, je ne me rends pas compte de la réalité des choses. La circulation est presque acceptable mais il règne un brouillard persistant qui enveloppe la ville. Quelques jours plus tard alerte à la pollution (voir là)
Pour sortir, nous avons fait un tour dans un très petit quartier étonnant, Hauz Khas Village. petit village phagocyté par la très grande New Delhi, il s'agit d'un quartier branché champignon qui a vu s'empiler des immeubles sur des immeubles dans un enchevêtrement assez indescriptible formant un ensemble assez bizarroïde.
Les dédales de ruelles en 3 dimensions |
Le café zéro au 4 ème étage d'un immeuble |
A l'intérieur de ce dédale, les restaurants, bars et autres boutiques bobos apparaissent et disparaissent en quelques mois, il faut passer dans un couloir sombre, monter 4 étages pour trouver une terrasse de restaurant. L'espace public est plus que chaotique et les chantiers jouxtent les terrains vagues. C'est très surprenant et c'est apparemment le lieu de sortie de la jeunesse aisée et des indiens occidentalisés en quête de sorties.
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